Débats et opinions

Coronavirus, promenades et confinement

Jonquilles, fleurs, mar. 2017

« Déplacements brefs, à proximité du domicile, liés à l’activité physique individuelle des personnes » et c’est tout. Débrouillons nous avec les seuls termes officiels de l’Attestation de Déplacement Dérogatoire. Sans aucune intention ici, de faire polémique, promeneurs, randonneurs et montagnards, doivent s’interroger sur les choix qu’il est encore possible de faire. Les communiqués officiels qui concernent les activités de plein air, la randonnée en montagne notamment, sont directement accessibles dans un encadré en tête du billet.

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De cairns et de tas de cailloux…

Réunion de cairns, mai 2018

Sur le site Internet de l'excellent magazine de la photo et du voyage GEO un article Pourquoi vous ne devriez pas faire de pile de pierres lors de vos balades en pleine nature retient naturellement l'attention comme les cairns qui jalonnent le chemin…

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Les Bauges, nouvelle réglementation des zones de quiétude pour la faune

La Pointe d'Arcalod

Les zones de quiétude réglementées de la Réserve Nationale de Chasse et de Faune Sauvage des Bauges ont changé. Les zones de Curtillet, de la Montagne de la Lanche, de la Coche Est sont supprimées. Une nouvelle zone est créée : le vallon de l’Armène qui conduit au Col d’Armène. Celle de la forêt de Coutarse est maintenue. Mais ces deux zones restent franchissables par les itinéraires classiques de randonnée.

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La liberté de randonner serait-elle en danger ?

Le Pic du Frêne

Pris cet été sans consultation, un arrêté municipal, a interdit le bivouac à la Pra. Le prétexte est la protection des zones humides qu'il serait facile d'admettre, mais l'interdiction concerne en réalité le bivouac sur des pâturages à mouton ! En créant le collectif Vigilance-Belledonne, des randonneurs manifestent leur refus de voir les panneaux d’interdiction fleurir partout dans la Chaîne de Belledonne et proposent d’autres perspectives.

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Enfin, une reprise en douceur

Belvédère de la Léchère

Près de quatre mois ont été nécessaires pour guérir une ténosynovite, avec fissuration du tendon du court fibulaire, après m'être tordu le pied droit, je ne sais plus quand ni où, avant le mois de juin dernier. Et ne parlons pas du pied gauche traumatisé par une chute brutale début décembre… C'est le moment de rappeler qu'il n'est jamais bon de procrastiner un diagnostic médical… Consultant, seulement en septembre, un médecin du sport, la guérison n'en a été que bien plus longue… Et encore, le pied est-il vraiment guéri ?

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